(TC) « Happy » Hour

17.03.2023

La colère du Peuple

Tous les sorciers susceptibles de passer par le Chaudron Baveur (ouverts à tous).

Chaudron Baveur

17.03.2023

Présentation de l'animation

(TC) « Happy » Hour Ec59880ae64830232d857297ab95881d

Vous êtes au Chaudron Baveur. Imaginez la pièce principale un peu plus grande que celle du film afin de pouvoir prendre plus de liberté. Du plafond, vous voyez des oignons, des saucissons et autres trucs à sécher. Une bonne odeur de ragoûts de moutons à la tomate commence à se faire sentir. Il y a de l'agitation, comme d'habitude. Il est quasi- 18h, l'heure de pointe où les gens vont et viennent d'un monde à l'autre.

À travers ce brouhaha, vous entendez un peu de musique provenant de la radio à transmission magique. Vous entendez aussi le bruit de vaisselles ou de liquides qui coulent à flot des poignets derrière le bar. L'ambiance, malgré les évènements actuels, reste bonne enfant. Si la population est bien moins hétéroclites (bien moins d'hybrides par exemle), elle reste encore une bonne représentation de la communauté magique britannique.

Les conversations sont diverses et variées. Si certains parlent politiques, il en reste d'autres qui continuent leurs conversations habituelles, et quelque part, cela fait du bien à l'oreille (ou vous agace, comme vous le voulez).

L'Happy Hour ne va pas tarder.

Déroulement de l'animation

Il y aura peu de tours. L'idée est surtout de faire interagir les personnages entre eux. L'évolution se fera en fonction des actions de vos personnages.

Premier tour
Pour le moment, rien à signaler. Vous arrivez pour x ou y raisons. Vous vous installez pour boire un verre, ou autre. Comme vous le sentez.

Comment ça fonctionne ?

→ N'hésitez pas à user et abuser des tags lorsque vous vous adresserez à d'autres personnages. C'est un événement qui a eu lieu durant la soirée, vous êtes libres de partir du sujet pour en créer un autre si vous souhaitez vous prolonger l'aventure à l'abri des regards.
→ N'hésitez surtout pas à mettre un résumé sous balise [spoiler] afin de faciliter l'intégration des autres joueurs au sein de l'animation.
→ Des RPs courts sont préconisés ! Entre 150 et 400 mots, c'est bien ! Vous êtes cependant libre d'en faire beaucoup plus !

@Gryffondor @Serpentard @Poufsouffle @Serdaigle @Poudlard @Sorciers

notez toutefois que pour les élèves, vous ne pourrez pas être au château ET dans le monde magique le temps que tout se décante (ou pas).

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Compte MJ.

N'hésitez pas à interagir avec moi.

INFOS FICHE DE PERSO

Le Chaudron Baveur... Sommité dans le monde sorcier. L'établissement marquait le début de leur monde, il était là depuis des siècles et sans doute le serait-il encore dans les siècles à venir. En tout cas Vittoria aimait le penser. Ce soir, si elle était là, c'était bien parce qu'elle avait besoin d'un petit remontant. La sorcière sortait d'une garde à Ste-Mangouste, elle était censée être en congé sabbatique mais ses collègues avaient eu besoin d'un coup de main à cause d'imbéciles qui s'étaient foutus sur la tronche à coups de sortilèges et qui n'avaient pas été en état de se protéger correctement. Et tout ça pourquoi ? À cause de la nouvelle disposition prise par le Ministère.

Rien que d'y penser, Vittoria eut une moue de dégoût. Voir justement un exemplaire de la Gazette faisant l'annonce de cette nouvelle loi sur le comptoir auquel elle s'était accoudée la fit se renfrogner un peu plus. L'italienne n'avait pas eu le temps de lire correctement l'article, alors elle se saisit du journal et en fit une lecture rapide. Avant de le laisser tomber avec mépris un peu plus loin sur le comptoir.

- Stupido... Ils ont vraiment oublié les événements d'il y a 20 ans... Râla-t-elle à voix basse.

Elle n'avait pas combattu pour ça. Ses actions durant la Bataille avaient été discrètes mais elles avaient été faites. Et la brune n'était franchement pas sereine pour l'avenir du monde sorcier si les choses recommençaient à dégénérer, de façon aussi officielle et sans coup d'état cette fois ! Dépitée, la quadragénaire commanda un whisky pur feu qu'elle sirota tout en écoutant les conversations des uns et des autres, secouant la tête à chaque fois qu'elle entendait quelqu'un crier à l'éradication des hybrides.

- Et contre les cons, quand est-ce qu'on fera quelque chose... Se demanda-t-elle à voix basse.

Etait-ce même seulement possible de faire quelque chose contre cette engeance là ?

INFOS FICHE DE PERSO

TC

"Happy" Hour

Revenir à Londres était une chose, s'y installer de manière plus ou moins définitive en était une autre. Dawn avait depuis bien longtemps oublié toutes les petites habitudes, tous les petits rituels quand elle était encore ici, c'était une belle époque mais cela lui semblait remonter à si loin. Beaucoup de choses avaient changé, elle entamait une nouvelle vie, elle avait de nouveaux projets, et elle commençait également un nouveau métier. Une tâche qui n'allait clairement pas être simple à réaliser. Il fallait bien avouer qu'elle arrivait tout juste au Ministère, dans le service de contrôle et de régulation des créatures magiques. Et alors qu'elle cherchait encore à trouver ses marques, dans un système bien différent du sien jusqu'à maintenant, il avait fallu que le Ministre en personne vienne à pondre une nouvelle loi, une nouvelle obligation, mais peut-être le début de quelque chose de plus funeste. Rien que cette idée venait profondément à la révulser, mais néanmoins, elle n'avait guère les moyens pour le moment de faire bouger les choses, mais elle ne manquerait pas de les trouver et de défendre son point de vue, comme elle l'avait toujours fait. Protéger les autres, que ce soit les êtres humains ou les créatures magiques, lui avait toujours tenu à cœur, et cette nouvelle exigence allait à l'encontre de ce qu'elle pensait, de ce qu'elle ressentait.

Elle avait donc besoin d'évacuer, juste de sortir un peu, de voir du monde et de ne pas immédiatement s'enfermer à nouveau chez elle. Elle avait peur de broyer du noir en étant toute seule, et ce soir, elle n'avait guère envie d'une telle chose. Alors, elle avait un peu erré dans le Chemin de Traverse avant de s'arrêter devant la porte du Chaudron Baveur. Pendant quelques secondes, elle resta interdite, en se disant qu'elle aurait bien aimé boire un verre pour se détendre de sa journée, avant de se rappeler que pour les prochains mois à venir, elle était interdite d'alcool. Elle grimaça un bon coup, avant de se décider à entrer, elle se contenterait d'un jus de citrouille puisqu'elle n'avait pas réellement d'autre choix. C'était l'heure de pointe, et il était quelque peu difficile de se frayer un chemin. Néanmoins, elle finit par se diriger vers le bar et elle reconnut, alors, une silhouette familière. S'approchant de lui, elle s'accouda juste à ses côtés et lui décocha un sourire léger. « Le sauveur de la famille Nightingale ! Comment vas-tu depuis la dernière fois ? » Dit-elle doucement à l'attention de @Nathanael E. Pierce.

AVENGEDINCHAINS

INFOS FICHE DE PERSO

« Happy » Hour

« Alcohol is the anesthesia by which we endure the operation of life. »
George Bernard Shaw

Après la disparition de Eva Nathanael aurait pu s'installer n'importe où. Ses talents étaient tels que n'importe quel hopital aurait été chanceux d'avoir un médicomage de son calibre, et pourtant il était revenu à Londres. Pourquoi ? Parce que ce lieu lui était familier ? Parce que c'était là qu'était sa famille ? Ces deux raisons étaient valables, oui, mais étaient-ce les véritables raisons ? Le Pierce n'en savait rien, pour tout dire. Il était revenu ici, avait recommencé à zéro, et pourtant cette époque était plus troublée que jamais, surtout depuis la dernière annonce concernant les hybrides.

Nathanael n'était pas indifférent à ce changement et ce qu'il allait impliquer. Combattre la souffrance était sa raison de vivre, après tout, mais aujourd'hui il était fatigué. Aujourd'hui il avait besoin de se détendre, de se poser, d'oublier tout cela et, par instinct, il était revenu au chemin de traverse, jusqu'à ce que ses pas ne le mènent au chaudron baveur. Cétait là qu'il avait bu pour la première fois et, quand son esprit cherchait à se détendre, ce lieu était toujours son point de référence.

Armé d'un costume aux tons sombres, noirs, Nathanael laissa son travail derrière lui, lorsqu'il poussa la porte de l'établissement, avant de balayer l'endroit de son regard expert.

S'il reconnut l'une de ses collègues au comptoir, Vittoria, probablement venue ici pour la même raison que lui, Nathanael lui fit un simple et discret signe de tête, en guise de salutations discrètes, avant de commander un whisky à son tour, breuvage dont il aurait probablement besoin, aujourd'hui. Mais c'était sans compter l'arrivée du soleil de la famille Nightingale, Dawn qu'il salua d'un discret sourire. Comment allait-il ? La réponse ne se fit pas attendre :

« Bien mieux, en si charmante compagnie, et toi ? Venue décompresser, aussi, ce soir ? »

La soirée n'allait peut-être pas être aussi horrible que cela, finalement. Boire un verre était une chose, mais le faire en bonne compagnie était encore mieux.

NE

Après avoir passé la journée à faire quelques emplettes sur le Chemin de Traverse, je me dirigeais donc calmement et paisiblement vers le Chaudron Baveur. L’ambiance y était généralement bonne et j’étais quasi-certains d’y trouver quelques connaissances. Avec un peu de chance, je tomberai peut être même sur mon fidèle @Braxton Clearwater , qui était peut être en train de puiser des informations en sirotant un jus de goyave. A cette pensée, j’émis un petit ricanement. Vêtu d’un long manteau bleu brodé des armoiries de Serdaigle, j’entrais donc dans le bar. D’un petit geste automatique, j’enlevais mon chapeau melon qui s’avérait être un Havre-Sac et… Je me dirigeais vers une silhouette que je reconnaissais entre mille appuyé au comptoir en train de râler.

« On peut rien faire contre les cons, crois moi j’ai essayé. Ils ont une capacité à se multiplier phénoménale. Les cons c’est comme les Hydres. T’en coupe un, deux apparaissent. Un whisky, irlandais. »

Fallait pas déconner non plus. J’allais pas prendre du pipi chat américain ou écossais. M’accoudant à côté d’elle, je lui fis un large sourire et je déclarai.

« Ca fait combien de temps qu’on s’est pas vu ? J’ai l’impression que ça fait une éternité. Je crois que la dernière fois, c’était en France, dans ce restaurant où le serveur te draguait. »

Les yeux pétillant, je trinquais avec elle tout en désignant la Gazette d’un air amusé du bout du museau.

« Tu devrais pas lire ça, c’est de la propagande. Comment ça se passe à Ste Mangouste ? »

De toutes les personnes sur laquelle je voulais tombé, @Vittoria Leicester faisait parti du top 5 ! Finalement, j’espérai que ce bon vieux Braxton ne soit pas là pour me casser mon coup.

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La vie c'est comme une carte de Chocogrenouille. 

Amato Animo Animato Animagus

Directeur de Poudlard

INFOS FICHE DE PERSO

Meivor contemple, à la lumière d'une chandelle, les détails parfaits sur le manche de sa baguette. Lors d'une précédente mission, il a été endommagé, trois fois rien, mais elle ne pouvait décemment pas se présenter au Ministère avec une baguette négligée. Pour pallier ce genre de problèmes à l'avenir, elle a fait remplacer le bois par une poignée d'acier, ciselé, sur une moitié, de symboles géométriques à base de triangles et de losanges rappelant la culture quapaw, et sur l'autre moitié, de motifs runiques scandinaves. Son père et sa mère ne seront ainsi jamais bien loin d'elle. La lumière joue de manière hypnotique sur les reliefs des motifs jusqu'à les rendre presque animés d'une vie propre.

- C'est parfait, dit-elle en souriant. Vous avez fait un travail remarquable. Vous êtes bien digne de votre père.

- Merci beaucoup. Cela vous fera dix gallions, miss Redstone, je vous prie.

Meivor tend l'argent à l'Ollivander présent derrière le comptoir, le fils du célèbre vendeur de baguettes, range précieusement son outil dans son discret étui accroché à sa taille, salue le vendeur et quitte la boutique dans un petit son de clochette.
Elle s'apprête à rentrer chez elle, mais c'est sans compter sa pire ennemie : la pluie. Cette satanée pluie anglaise. Surprise, rageuse, elle trottine dans la rue pavée, rabattant la capuche de sa veste sur ses cheveux bruns. Ce n'est qu'une averse, elle le sait, mais pour elle, n'importe quelle pluie est à éviter autant que le Déluge. Ses bottes esquivent quelques flaques, plongent carrément dans d'autres, lui arrachant quelques grognements supplémentaires. Hors de question qu'elle reste plus longtemps dehors.
L'enseigne du Chaudron Baveur apparaît soudain entre deux rideaux de pluie. Voilà une éternité qu'elle n'y est pas allée. Sans se poser de questions, elle pousse la porte et une fois à l'abri, s'ébroue comme un chien mouillé, soulagée de retrouver un peu de chaleur. Il y a beaucoup de clients, mais personne qu'elle connaît, à première vue. Elle trouve une place au comptoir, s'assoit sur un tabouret. Les conversations autour d'elle sont variées, mais beaucoup évoquent la nouvelle situation politique, certaines usent même de mots peu flatteurs. Elle pince les lèvres, et son coeur s'accélère. Elle n'aurait finalement pas dû venir ici. Qui sait ce qui se passerait si on apprenait qu'elle travaille au Ministère ?

- Qu'est-ce que je vous sers ?

Le serveur la sort de ses pensées.

- Oh. Euh... Un... un chocolat chaud, s'il vous plaît.

Il est encore tôt pour penser à l'alcool, et un chocolat, c'est parfait pour oublier l'affreuse sensation d'être aussi trempée qu'une serpillère.
On lui apporte sa commande, qu'elle paie aussitôt. L'odeur est épicée, le goût est exactement ce qu'elle espérait. Elle pousse un soupir. Elle ne devrait pas trop traîner. Dès que sa tasse est vide, elle part, tant pis si elle subit une autre averse.

J’avais craqué. Vêtu d’une grande cape et d’une capuche qui me couvrait le visage, j’étais entré dans le Chaudron Baveur. Mes sens de Loups aux aguets, l’odeur de la bière, de la sueur et du ragoût me monta immédiatement au nez… Qu’est ce que cela m’avait manqué. Cela faisait maintenant environ trois semaines que j’avais quitté l’IDEM et que je n’avais plus donné aucun signe de vie à personne… Mis à part quelques hiboux, j’avais tout plaqué pour vivre une vie de vagabond.
Les lois Dunn, de plus en plus dur pour mes congénères m’avait véritablement exposé en paria de la société. Surtout que j’étais alors inscris aux Registres, volontaire pour les soins à Ste Mangouste pour éradiquer cette malédiction…
Quel idiot j’avais fait…
J’étais alors aller voir au Marché aux Trolls, là où mes semblables s’étaient réuni. Une espèce de no man’s land où la loi du plus fort y régnait. Ca me faisait froid dans le dos…
J’aurais pu aller chez mon père, ou chez un de mes frères et sœurs… Mais il était hors de question que je les fasse aller en prison pour complicité.

« Excusez moi... » dis-je d’une petite voix.

Par accident j’avais bousculé quelqu’un. Mon corps et ma force de Loup avait fait que je n’avais pas tant bougé contrairement à la personne en question. Replaçant ma capuche sur mon visage, je ne vis pas celui de la personne que j’avais bousculé car par réflexe, j’avais baissé la tête pour ne pas être reconnu.

« Belle soirée pour boire des bières et manger des trucs gras non ? »

Je me risquais alors à lever le nez, dans un regard un peu fuyant et craintif. Comme un Loup qu’on arrêtait pas de maltraiter tous les jours que dieu faisait.

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L'étincelle d'espoir réside dans la patience. 

Salveo Malefica

Werewolf

INFOS FICHE DE PERSO

TC Happy Hour - 17 mars 2023

Je tournais la petite clé dans la porte de la ma petite boutique avant d’y activer d’un mouvement successives de mains et de quelques mots les runes de protections afin d’éviter toutes intrusions non souhaité. Bien, elle n’était pas infranchissable ces barrières et une personne s’y connaissant en rune, pourrait facilement les casser. Seulement, c’était un réflexe depuis la disparition de ma famille que de mettre des runes de protection pratiquement partout où je passais pas mal de temps. J’étais vêtue de ma cape de sorcière par-dessus une salopette en jeans et une marinière blanche et noire, des vêtements que j’avais trouvé dans une friperie moldue en arrivant à Londres. Ils ont une monnaie bien étrange les moldus anglais, j’avais souris la première fois en voyant la tête d’une dame portant une couronne sur les billets, c’est @Jade Weimer qui m’a informé qu’il s’agissait de la reine d’Angleterre, paix à son âme. J’ai cru comprendre qu’elle n’était plus.

Je marchais en direction du chaudron baveur, mon héroïne Jade m’avait donné rendez-vous la bas, pourquoi ? Aucune idée. Je ne connaissais pas et pourtant je vivais sur ce chemin depuis pratiquement deux ans, dans quelques mois, mais je n’y ai jamais mis le pied. Je passais ma main droite sur ma tête pour vérifier que mon bonnet en forme d’éléphant était toujours là, alors que de ma main gauche, je ramassais la clé dans la poche de ma salopette. En arrivant dans le bout du chemin, je passe le passage avant de passer ma tête au travers de la porte curieuse de voir les lieux. Oh, il y a du monde, je regarde tous les visages mais pas de Jade. Je fronce un peu les sourcils avant de me reculer pour regarder si j’étais au bon endroit, mais oui. Elle m’avait bien donné rendez-vous dans ce lieu, peut-être était-elle retenue au ministère pour l’instant. Je finis par entrer tous mon corp dans l’établissement, m’émerveillant devant le côté rustique des lieux. J’avais en regardant partout, heurtant sans le vouloir une personne qui portait des verres, aussitôt je me confonds en excuse en faisant une révérence à chaque fois. « Shè ling.* »

En me relevant au bout de la troisième excuse, mon regard s’attarde que un visage familier, aussitôt ma bouche s’ouvre avant de former un jolie sourire d’extase. Je m’approche doucement, consciente qu’elle parle avec une personne, mais je suis trop contente de la voire alors je passe outre malgré ma timidité. En arrivant à côté de @Dawn Nightingale, je pose mon doigt sur sa joue qui se creuse doucement sous la pression. « Dawn, tu es là. » dis-je en sautillant un peu alors que j’enlevais mon doigt de sa joue. « C’est trop bien. » Me tournant à droite et à gauche pendant un moment avant de stopper mes iris sur elle. « Il se passe quoi ? Une réunion spéciale ? » Serait-ce pour cette raison que Jade m’a demandé de venir ? Je baladais mes yeux d’elle à l’homme en face d’elle, puis de nouveau vers elle avec des petites étoiles dans les yeux. Je la tire doucement sur son bras avant de lui murmurer. « C’est ton amoureux ? Il est joli. » terminais-je en soupirant d’aisance.

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Shè ling (赦令)* : pardon en chinois.

resumé et bonnet qu'elle porte: