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Let It Be (Nott)

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Ebenezer Grimm
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Ebenezer Grimm
   
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Education Magique (EM)
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Potentiel Magique (PM)
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Rigueur Magique (RM)
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Expérience Magique (XM)
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Témoins de l'Histoire
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Inventaire
:

15.02

Tournant encore et virant encore une fois, je me demandais bien évidemment sur mes heures de bureau, comment récupérer le coup avec Nott. J’avais tout plus ou moins fait foiré, la dernière fois, et je réfléchissais à un plan d’action digne de ce nom et de ma carrure pour essayer de recoller les morceaux. Faisant bien évidemment semblant de travailler, plusieurs dossiers ouverts, je regardais la porte de l’ascenseur en essayant de rassembler les éléments pertinents qui pouvaient m’amener à la revoir et marquer le coup. Au final, ce n’était pas bien plus compliqué que de monter un dossier sur une source, ou de repérer des failles dans des lignes de compte d’une entreprise douteuse. Enfin… en théorie.
Attrapant un dossier au hasard, je me levais finalement et je déclarais dans l’open space.

« Je vais au Bureau des Aurors. Ya un point sur l’affaire Tawer qui correspond pas aux témoignages des sources sur place. »

Plusieurs m’écoutèrent, d’autres non. A vrai dire, j’en avais rien à foutre. De toute façon, j’avais lancé un sujet assez réel pour que personne ne se doute de quoi que ce soit. Ce qui était étrange, c’était que je travaillais avec autant d’ardeur avec le bureau des Aurors en ce moment.

« ‘Serai pas long. »
marmonnais-je en me dirigeant vers l’ascenseur.

J’avançais vers le couloir, puis je me dirigeais vers l’ascenseur. Qu’est ce que j’allais bien pouvoir dire ? Qu’est ce que j’allais bien pouvoir faire pour récupérer les morceaux brisés ?
Après tout, est ce que je n’avais pas agi inconsciemment quand j’avais appelé pour organiser cette partie de Poker ? Est-ce que je voulais vraiment que Nott fasse partie de ma vie ? Est-ce que je n’avais pas intégré son discours sur les Aurors qui m’avait retourné le cerveau ? Ou étais-je tout simplement, assez bien pour elle ?
En proie au doute, j’arrivais devant le bureau de Nott. J’inspirais. Le secrétaire me vit, et roula des yeux. Il prit quelques dossiers et s’en alla plus loin. Visiblement, il avait flairé le mauvais coup. Je frappais, deux coups rapides et j’entrais. Et je pris soin de bien refermer la porte derrière moi, avec une lenteur infinie…

« Salut salut... »

Je me retournais avec un petit sourire. D’un coup de baguette, je fis apparaître sa boisson non-alcoolisée préférée et je la posais sur son bureau.

« Tu vas bien ? Hm ? Bon, je suppose que ça va pas fort. Ecoute, faut que j’te dise quelque chose. Et écoute moi jusqu’au bout s’t’euplé... »

Je posais le dossier fictif sur son bureau, qui était à moitié remplie et à moitié. Comme à mon habitude de toute façon, j’allais tout faire au dernier moment.

« Je suis désolé pour la semaine dernière. Ecoute, j’ai paniqué tu vois. J’me suis dis… Elle va rester au boulot, elle va jamais venir, et elle va faire... »


Comme d’habitude. Je me mordais la joue intérieurement. Parce qu’elle m’avait souvent fait le coup. Et malheureusement, cette fois-ci ce n’était pas un argument, car on en avait largement discuté et… avec ma putain de langue, j’avais signé un contrat. Pourquoi j’avais dit tout ça.

« Bref, j’arrête de dire des conneries, je te rejette la faute. J’ai merdé. Je suis désolé et je viens m’excuser avec… avec... »

Je regardais autour de moi, ce qu’il y avait dans le bureau à offrir. Finalement, rien. Je fis juste apparaître des fleurs et je lui tendis avec un léger sourire maladroit.

« Des appareils génitaux de plantes. »


Je marquais une pause, et je me dirigeais vers la porte. C’était l’entrée en matière la plus nulle du monde. Je n’avais plus rien à faire ici, car je m’étais enfoncé  plus que j’étais sorti du sable. Penaud, je m’étais imaginé tous les scenarios derrière mon bureau plus bas dans les étages, mais pas celui ou je faisais autant de merde à la minute.

« Ah, et, je t’aime. »


J’étais de dos. La main posée sur la poignet de la porte, je parlais à cette dernière, et je n’osais pas me retourner. C’était parti comme une balle de fusil, soit comme l’ultime façon de merder, soit comme ma dernière chance de m’en sortir avec elle. Toujours de dos, je n’osais pas me retourner pour lui dire dans les yeux.

« Mais, comme d’habitude, je fais tout foirer avec ceux que j’aime. Et quand je les aime plus que tout, je fais vraiment, d’la merde. »
Nott Tyrfing
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Inventaire
:

15.02


Les derniers mois avaient filé sans qu’elle ne les voit. Elle avait fêté noël sans personne, autour d’une bouteille au goût amer, et s’était demandée si elle n’allait pas mourir seule dans une mission merdique. Une mort sans envergure, comme sa carrière qui était en train de sombrer. Nott jeta un regard morne à l’avertissement qui traînait sur son bureau, qu’elle n’avait pas besoin de relire une énième fois puisqu’elle avait fini par mémoriser chaque mot, chaque espace, et chaque reproche bien tourné de cette foutue administration.

« Il est avec regret que je rédige cette lettre d’avertissement concernant votre comportement récent. Il a été porté à notre attention que vous avez fait un usage abusif de votre position hiérarchique dans plusieurs situations... »

Nott avait la nausée. Elle se passa la main sur le visage et y jeta de nouveau un oeil, comme si les lettres avaient le pouvoir secret de se réorganiser. Comme si le message pouvait changer, en mode « premier avril ! ». Mais non.

« Ces comportements sont contraires à nos politiques internes et aux attentes que nous avons envers tous les membres de notre équipe. En tant que leader, vous avez une influence significative sur le bien-être de vos collègues et sur la culture de l’administration dans son ensemble. Il est impératif que vous utilisiez cette influence de manière constructive et respectueuse. »

Les iris bruns de Tyrfing se plissèrent, prenant des airs de meurtrière.

Morfin Byrne se foutait de sa gueule.
Ouvertement. Poliment.

Une formulation irréprochable, des ronds de jambe, pour des mots assassins de fils de pute.

« Nous vous encourageons vivement à réfléchir à vos actions et à prendre des mesures immédiates pour rectifier votre comportement. Nous sommes convaincus que vous avez le potentiel de deviner un leader efficace et respectueux au sein de notre sainte administration.

Dans le cadre de cet avertissement formel, nous vous demandons de vous engager à améliorer votre comportement et à respecter pleinement les normes de conduite attendues de tous les membres de notre administration.

Si vous avez des préoccupations ou des questions concernant cet avertissement, n’hésitez pas à en discuter avec votre superviseur. »

Morfin Byrne était un fils de pute, maintenant au moins, c’était certain.

Nott se redressa, ses épaules nouées et le visage fatigué, mais désormais, tout faisait sens ou presque. Le départ précipité de Thaddeus qui, trop intègre, avait dû subir aussi et à sa façon la pression de Byrne. L’étouffement de l’affaire de la drogue, le fait que @Noma Karma semblait être dans le viseur du Directeur.

Pourquoi une telle trouille de la part du Directeur, d’ailleurs ?

Nott se frotta les tempes, avant de finalement plier le document et l’envoyait d’un Evanesco dans les méandres d’une autre réalité - loin d’elle, même si cela finirait par lui ronger l’esprit dès qu’elle rentrerait chez elle.

Tyrfing allait envisager de rentrer au moment où la porte s’ouvrit.

Son regard se leva instinctivement sur le visage d’Ebenezer, et elle se sentit à la fois terrassée par le destin, comme si ce dernier lui envoyait un second signe annonciateur d’une défaite face à la vie - un second cavalier de son apocalypse personnel, et en même temps, c’était à la fois presque ironique.

Elle n’ouvrit pas une seule fois la bouche, plus car elle n’était pas capable de dire ou d’objecter, et écouta avec une certaine attention les mots du Grimm, le visage un peu pâlot.

Je t’aime.

A l’origine, la norvégienne s’était attendue à ce qu’il lui parle de tout et de rien, peut-être qu’il avait même entendu parlé de l’histoire avec Byrne - même si elle en doutait, Morfin n’avait aucun intérêt à mettre qui que ce soit de plus dans la boucle, au risque de rameuter des alliés à la Cheffe du bureau des aurors dont les états de service étaient impeccables - mais non.

Le disque était rayé. La scène un peu étrange, un mélange de déjà-vue et de nouveauté.

Et elle, elle était fatiguée, à cause peut-être de la mi-saison, ou d’à chaque fois avoir l’impression de frôler le firmament et de s’écraser la seconde d’après.

Silencieuse à son bureau, un ange passa, où elle ne savait pas bien quoi dire.

Enfin, si, d’une certaine manière.

« Je sais, Ben. Moi aussi. Je t’aime. »

Les yeux bruns de Nott détaillèrent Ebenezer. Dans les films romantiques, c’était sans doute à ce moment que les deux protagonistes se levaient, se rapprochaient jusqu’à se sentir, jusqu’à se toucher, et qu’ils s’embrassaient avec passion.

Mais elle comme lui n’étaient pas ce genre d’acteur.

« L’amour, ça n’a jamais été ce qui manquait. »

Elle jeta un regard à son bureau, vide et perdue. L’avertissement de Byrne, le message de son paternel après quasiment dix ans de silence, et maintenant Ebenezer. Elle se passa la main sur le visage. Nott n’avait pas bougé d’un pouce. Son monde s’écroulant doucement autour d’elle suffisait largement, pas la peine d’y ajouter son propre tango.

« On est juste... nuls. L’un pour l’autre. Nuls dans le genre... où je te fais du mal, et où tu me fais du mal. »

Les épaules trop lourdes, Nott le fixa, l’air un peu désabusé.

« Je suis pas disponible pour ce genre d’histoire. J’ai trop de chose à faire, Ben, et je me sens putain de seule. Je me sens... tellement perdue, tellement au fond du trou, que je sais même pas pourquoi je continue. J’en suis à un point où je te dis que je t’aime aussi, et je sais que ça va te donner de l’espoir, mais c’est juste moi, ma personnalité malsaine, mon incapacité à laisser aller, ma putain de possessivité qui me ronge, et ce fichu complexe d’infériorité, et-et... »

Elle leva la main, comme si la liste allait être encore longue, mais plus rien ne sortit de ses lèvres.

Ou tout juste un soupire.

« Ma grand-mère est morte, Ben. Faut que j’aille en Norvège... »

Ca ne devait pas lui dire grand à chose à Ebenezer, car Nott n’avait jamais parlé de sa famille, ou alors vaguement. Son père était pourtant une personnalité bien connue du paysage politique des pays nordiques, et sa mère une beauté sans nom. Sa soeur quant à elle, plus qu’une étoile montante, une diplomate incroyable et charmante.

Elle... Elle n’avait jamais été la même qu’eux, et sa grand-mère était morte.

Les derniers mots qu’elle lui avait dit, c’était « je reviendrais te voir vite », et elle n’était jamais revenue la voir.

La tête de Nott se pencha en avant, se cachant le visage d’une main alors que ses épaules, fébriles, se mirent à trembler. Tyrfing ne pipa aucun mot, mais ses cheveux virant au bleu pour la première fois de sa vie laissaient croire que c’était plus qu’une mauvaise nouvelle pour la métamorphomage.

_________________

NOTT TYRFING
Put me back together
Or separate the skin from bone

Ebenezer Grimm
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Inventaire
:
Je me figeais quand j’entendis sa réponse, la main sur la poignée de la porte. Lentement, je l’enlevais et je me retournais avec un léger sourire, qui s’effaça à la suite de ces propos. Je l’écoutais en silence, me répondre qu’elle m’aimait. Puis me poignardait en me disant que c’était compliqué et qu’on était peut être pas fait l’un pour l’autre parce qu’on était nuls. Et aussi par rapport au fait qu’elle n’était pas disponible pour ce genre d’histoire. Ca, je l’encaissais dans un coin de mon coeur et je fis une très légère grimace.

« D’accord. »
dis-je sans plus d’éléments de réponse.

Mais en même temps qu’est ce que je devais dire ? Que j’étais prêt quand même à tenter le coup, parce qu’on ne pouvait connaître un échec que si on avait tenté quelque chose. Mais la suite de ses propos me ravisa sur ma position. Elle semblait perdue. Totalement égarée, pour la première fois depuis que je la connaissais, elle semblait même vulnérable. Je plissais des yeux et je m’avançais vers elle pour la prendre par les épaules.

« Hé. Hé… Calme toi. T’es sur que ça va ? »


Mes réflexes d’agents des renseignements opérèrent. Quand une source changeait d’attitude alors qu’elle avait toujours été fiable, c’était qu’il y avait eu un évènement extérieur majeur. Et la disparition de sa grand-mère n’était pas suffisant pour abattre la femme que j’avais en face de moi à ce point, qui voyait tous les jours l’injustice de la mort frapper nos collègues. Mes yeux passèrent sur son bureau, dans son ensemble. Rien. Il avait quand même du se passer quelque chose.

« Tu étais proche d’elle ? »
demandais-je

Je commençais à récolter des informations. C’était très bête mais toutes les relations fonctionnaient de la même manière. Que ce soit celle d’une source et d’un agent des renseignements, ou de deux êtres qui visiblement s’aimaient mais qui étaient incapable de se le prouver par les actes. Mon regard se baissa et je continuais :

« Et il y a autre chose ? »


Et toujours poser des questions simples, précises et qui allaient droit au but. Mes yeux passèrent sur elle à nouveau, puis sur le bureau. Comme si je cherchais une trace d’un évènement que j’avais pu rater. Il était certains que quand j’allais quitter ce bureau, je menerai ma petite enquête personnelle. Après quelques temps, je finis quand même par reprendre le sujet d’une conversation normale. Ca aussi ca faisait parti du protocole.

« Je vais venir avec toi. L’Ambassade Britannique en Scandinavie magique a toujours des informations précieuses à nous fournir, et je suis certains que je trouverai rapidement un ordre de mission pour venir avec toi. Au pire, je prendrais des congés. »


Bien sur, je n’avais plus de congés. J’étais du genre à les prendre tous en même temps et à bouffer mon pain blanc en soirée à jouer à des jeux d’argents et à picoler jusqu’à ce que mon immense carrure tombe comme une masse au milieu du Casino Gobelin. Mais j’allais me débrouiller pour la suivre, j’étais débrouillard et inventif. Au pire, je demanderai à un ami de me sectionner un bras, et je prendrais un arrêt maladie pour la suivre.

« En tout cas, je vais pas te laisser tomber. Amant, collègue ou ami. Je sais pas trop ce qu’on est toi et moi mais une chose est certaine, c’est hors de question que je te laisse tombé t’entends ? »


Je passais ma main sous le menton pour lui relever la tête afin qu’elle me regarde dans les yeux et qu’elle se reprenne. C’était bizarre de la voir ainsi, et encore plus bizarre de voir cette couleur de cheveux.

« Tu as peur ou tu es triste ? »
dis-je en poursuivant mon petit interrogatoire.

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